QUI
SUIS-JE ?
UN PARCOURS VRAIMENT
ATYPIQUE
Je suis né en 1948 d'une
famille ouvrière du Nord de la France. Maman (†) a travaillé "au griblage"
(zone de tri) aux Houillères Nationales, puis serveuse dans un café (à
l'époque, on ne disait pas bar) et le soir, marchande de bonbons au cinéma.
Papa (†) était allemand, il a été fait prisonnier en 1944,
il avait 18 ans. Ensuite il est
resté travailler aux houillères également puis il a poursuivi dans les
machines agricoles pour terminer chauffeur-livreur dans une brasserie. Le
soir papa était projectionniste, dans le même cinéma que maman, cela va
sans dire. Je suis donc venu au monde dans un cinéma et j'ai baigné dans ce
monde jusqu'à l'âge de dix-huit ans, El Paradiso.
Papa était grand
bricoleur, je passais le plus clair de mon temps avec lui quand c'était la
bricole. Mais lorsque l'appel du jardin se faisait sentir, j'avais autre
chose à faire... A l'époque, tout le monde s'occupait au jardin, moi je
détestais cela. Avec le temps, je pense que cela s'est atténué. A l'heure
actuelle, j'ai un grand terrain à gérer (+ de 2500 m²) et je m'en occupe
volontiers. Je n'ai certes pas de jardin à proprement parler, mais cela
n'empêche... Je ne déteste plus.
Hongrois du côté de
Maman et Allemand du côté de Papa... Eh bien ! Je suis Français et je ne
parle que le français couramment. J'ai bien évidemment de bonnes notions
d'anglais et quelques petites notions d'allemand. Cela m'a toujours suffit
pour l'essentiel.
A l'âge de 13 ans,
certificat d'études passé avec facilité, je montre des velléités, j'abandonne mes études. Mes parents et le Directeur de l'école auront beau
faire, lorsque j'ai décidé... Je quitte donc l'école au mois de juin pour
commencer à travailler comme apprenti dans un atelier d'usinage mécanique.
Je passais devant à chaque fois que j'allais à l'école et j'avais envie de
tenter l'aventure. Quelques mois plus tard, fin septembre, j'ai quatorze
ans. Je me dis : "Alain, tu ne vas pas rester sans valises", je décide de
m'inscrire au cours du soir à l'Athénée Royale à Péruwelz en Belgique. C'est
à 6 kilomètres de la maison, j'habite juste à la frontière. Le jour, je fais
ma journée de travail, le soir à l'école, tous les jours, samedi et dimanche
matin compris. Le temps ne comptait pas, le principal était d'évoluer à sa
manière. Il y avait 5 mois que je travaillais dans cet atelier d'usinage, je
décide de quitter pour aller travailler 50 m plus loin avec Papa, comme
monteur en machines agricoles. Là, je resterai plus de 4 ans avant de
m'engager dans la Marine Nationale. Cette période fut la meilleure qui soit
car papa m'a formé à l'aide d'autres collègues, une pensée particulière à
Robert (†). J'ai passé d'agréables moments en compagnie des agriculteurs. Je
montais principalement des semoirs et des distributeurs d'engrais, puis
j'allais de temps à autre avec Papa ou Robert ou les deux dans les champs
avec les cultivateurs pour essayer les machines. Que du Bonheur !
Pendant ce temps, à l'École Industrielle de Péruwelz, le programme était
chargé. Je suivais les modules "Mécanique industrielle", "Électricité
Industrielle" et "Mécanique Automobile" en même temps, ce qui conduisait à
l'obtention de 3 CAP. A l'époque, les cours s'échelonnaient sur 4 ans.
Ayant signé mon engagement dans la Marine, je n'ai pas cru bon de terminer
ces études puisque non nécessaires à mon entrée dans la Royale. J'étais régulièrement
classé entre 1er et 3ème dans toutes les matières, j'aurai pu faire un
effort. L'essentiel pour moi était la connaissance, le reste importait peu.
L'avenir me donnera raison.
Vient donc l'âge où
l'on a besoin de s'affirmer, je m'engage dans la Marine Nationale, après
m'être rendu à Lille à la caserne Souham pour voir les différents débouchés. Ma décision est vite
prise, je signe pour un engagement de 3 ans et je choisis de servir à bord
des sous-marins. Mon seul regret est de ne pas avoir pris un engagement plus
long.
Le 25 juillet
1967, jour où je prends mon envol
Toute mon odyssée
maritime fait l'objet de ce site dédié au Sous-marin VÉNUS...
www.sousmarinvenus.com
Pendant mon séjour dans
la Marine, lors d'une permission début 1969, je rencontre Nicole mon épouse
qui était une amie d'enfance. Nous nous étions perdus de vue quatre années
auparavant car elle avait déménagé dans la ville voisine. Une idylle est
née, elle dure depuis près de 39 ans au moment où j'écris ces lignes. Ma
période Marine se terminera en juillet 1970 pour me marier le 3 octobre de
cette même année.
Je rentre dans la vie
civile sans bagages, à part mon Certificat d'Études Primaires, et j'embauche
dans une grande entreprise de construction ferroviaire qui existe toujours à
cet instant. Je me réinscris aussitôt à l'École Industrielle de Péruwelz
pour reprendre des connaissances. Je m'inscris aux cours de "Tôlerie
carrosserie" qui vont durer 3 ans.
Octobre 70, Nicole et moi
nous nous marions. En 1971, naissance de notre Fille... Et la vie de couple s'installe. Le travail le jour et le soir à
l'école, trois jours par semaine. J'obtiendrai mon diplôme de
tôlier-carrossier au terme des 3 années avec mention et major de promotion.
Cela me fait une belle jambe, je n'ai jamais utilisé ce diplôme sinon qu'à
titre personnel pour mes voitures perso lorsque je côtoyais le monde très
fermé des rallyes. J'ai exercé pendant quelques années comme Commissaire de
route dans des rallyes régionaux : Rallye de Béthune, Course de côte à Odomez, Rallye Charlemagne et Rallye du Touquet. J'en garde un bon souvenir
pour avoir approché des personnages comme Jean RAGNOTTI, Jean-Marc IVENS,
Guy FREQUELIN (Le Grizzly) devenu le chef incontesté chez Citroën, etc...
Sans oublier un passage inoubliable aux vingt quatre heures du Mans...
C'était dans les années 75 à 85.
Je ne resterai pas bien
longtemps dans le monde ferroviaire. La plupart de mes amis travaillent dans
une entreprise plus proche de chez moi. A peine deux mois et
demi plus tard, je suis embauché dans le monde de l'automobile. Et j'y suis
resté jusque l'année dernière pour prendre ma retraite au mois d'octobre à
l'âge de 59 ans avec 45 ans de bons et loyaux services... Du moins, je
l'espère... Enfin, je m'en fiche. La page est tournée et maintenant commence
une nouvelle vie...
Dans l'automobile, je
commence ma carrière comme ajusteur puis ajusteur-outilleur, je progresse rapidement.
Compte tenu de mes exigences, je suis plutôt satisfait. Je passerai ensuite
successivement aux postes d'ajusteur mécanicien, ajusteur calibres de
métrologie, ajusteur rénovation machine outils et spécialiste monteur
réparateur de
broches de rectification. Si tout cela se ressemble un peu, il y a surtout
un point commun, la minutie et la précision. Je suis de nature pointilleuse,
à la limite de la maniaquerie. Mais il y a toujours du bon et du mauvais
dans tout... Comme le dit mon Petit-fils lorsqu'il ne fait pas bien (il a
trois ans) "C'est rien... mmm..." avec une petite moue caractéristique.
C'est lui qui a raison.
A peine embauché, je suis contacté par les anciens
marins de l'entreprise, je m'inscris donc tout naturellement dans
l'association des "Anciens Marins du Canton de Condé et de ses Environs"
dont je deviens un membre actif. Deux ans plus tard, je suis élu
secrétaire. Pendant de nombreuses années, nous avons organisé bals, repas
dansants et sorties en famille. Depuis une vingtaine d'années, l'association
s'est mise en sommeil. Les conditions de plus en plus strictes concernant
l'alcool, la vitesse, etc... ont eu raison de toutes les bonnes volontés,
plus personne ne sort ou n'ose sortir. Faute de convives, nous avons jeté
l'éponge... Tout cela disparaît de plus en plus... Au demeurant, il est vrai
que les abus ont eu raison de ce mode de vie... Et bientôt, si la tolérance
passe à zéro comme il est dit, nous pourrons fermer bistrots, cafés et
restaurants... Circulez il n'y a rien à voir.
Bon ajusteur, mon chef
d'atelier m'a demandé si je me sentais capable de faire une maquette faite
main d'une ancienne voiture CITROËN. En fait, c'était pour
faire un cadeau au patron des patrons des Automobiles PEUGEOT de l'époque.
C'était la première voiture que cette personne avait possédé et, comme elle partait en
retraite, elle faisait le tour de toutes les entreprises PEUGEOT de
l'époque. Il me dit : "En plus, tu n'as que quinze jours pour la réaliser".
Je lui répondis "OK ! Mais j'ai deux conditions !". Il me rétorqua "tu as
carte blanche". Je lui ai demandé pour acheter une maquette à monter en
plastique de cette voiture et de me donner un compagnon pour la réalisation.
Marcel (†)
et moi avons fait pour le mieux. Cette voiture a été réalisé en tôle blanche,
en bronze et finition simili et peinture rouge. La voiture réelle était vendue à
l'époque peinte en jaune, elle s'appelait d'ailleurs la "CITRON" et ce
monsieur l'avait obtenue peinte en rouge.
Très rapidement, je
suis pris
par la passion de l'électronique, je m'inscris donc au cours du soir en Radio
Télévision. Un module qui dure deux ans. Là, pareil, major de la classe je
termine tous les cours sans passer le diplôme, je n'en ai pas besoin... J'ai
fait cela pour mes besoins personnels. C'est là que je rencontre, une
personne qui comptera beaucoup dans ma vie, mon ami Daniel (†), il est dépanneur
Radio TV. Il me sera de bon conseil pour faire joujou à l'électronique...
Nous sommes dans les années 75-76...
Vous direz, il ne fait
pas bon le rencontrer le bougre, tous ceux qu'il cite sont décédés. Ne vous
inquiétez pas, il y a énormément de personnes qui m'ont côtoyé et elles ne sont
pas mortes. C'est normal, on parle plus facilement de ceux qui ne sont
plus là, parce qu'ils vous manquent. Parce que l'on voudrait bien qu'ils
soient encore là. Je m'excuse pour les autres, mais j'espère
bien que je ne parlerai pas d'eux avant longtemps, puisque eux, je peux les
voir, les entendre et échanger avec eux.
1977, Une nouvelle
passion va s'installer lentement... L'informatique. Cela fait suite au virus
de l'électronique. J'étudie énormément les circuits logiques dont c'est
l'avènement... Cela va me conduire lentement à la programmation. 1981,
J'achète mon premier micro-ordinateur un ZX81... Que du bonheur... Avec 1 Ko
de mémoire, on fait des miracles.
Puis tout va très
vite... 1981, Peugeot abandonne mon entreprise qui devient un équipementier
automobile. MITTERRAND vient d'être élu président, il libère les fréquences
radios et, c'est à ce moment là que je rencontre une personne qui va
m'accompagner dans l'aventure des radios libres. Jean-Pierre (†) (F6FRN)
travaille dans la même entreprise que moi, il est radio amateur et nous
allons ensemble, monter, assembler et mettre au point un émetteur FM qui va
donner naissance à "RADIO MAGNÉTIQUE", une station qui va émettre pendant
plusieurs années. Pour ma part, le côté animateur à l'antenne, n'est pas ma tasse de thé,
mais une équipe s'est formée pour faire tourner cette radio. L'émetteur,
fabrication maison, va fonctionner environ un an et demi avant d'être remplacé
par un produit du commerce... La page est tournée... Mais ce fut une
fabuleuse aventure dont je garde un très agréable souvenir et en même temps
un très grand chagrin avec la perte de mon ami...
Je me plonge dans le
monde de la micro informatique qui évolue à grand pas... Le ZX se gonfle de
cartes additionnelles et j'évolue rapidement vers la programmation,
pour commencer l'assembleur (langage machine). Les modèles se succèdent,
les Commodore 64 et 128, les Thomson MO5 et TO7 puis vient l'Atari 520ST en
1985... Et le 1040 ST. Entretemps, le virus m'ayant pris, je lance l'idée de créer un club
micro-informatique au sein de l'Association Sportive et Culturelle de mon
entreprise. Il me faudra environ un an et demi de persévérance pour faire
aboutir mon projet. Pendant ce temps, je réunis de plus en plus de gens
autour de moi. En 1986, j'inaugure le club informatique, nous inscrirons
119 personnes. C'est l'engouement total, les gens se pressent pour apprendre
et comprendre. Je suis fier d'avoir créé ce club qui en 2008 existe
toujours, j'en suis d'ailleurs le président d'honneur à vie.
1988, je suis nommé
pour gérer les lubrifiants au service "Maintenance". En effet, les machines
industrielles de l'entreprise sont programmées pour subir des contrôles
périodiques. On appelle cela la maintenance préventive. Mes connaissances en
informatique ont été déterminantes dans ce changement radical de fonction.
Toute cette maintenance est gérée sur micro-ordinateur.
1990, à peine un an et
demi plus tard, un grand tournant dans ma carrière va s'opérer. L'entreprise
compte encore quelques 1500 employés. Le responsable informatique quitte
l'entreprise pour retourner chez Peugeot. Je suis appelé par son supérieur
pour me demander si j'étais en mesure de le remplacer au pied levé. Après
une période relativement courte, je me retrouve catapulté responsable
informatique, je dois gérer un parc d'environ 130 à 150 micro-ordinateurs.
J'interviens également sur les programmes. Pour être validé et occuper ce
poste, j'ai dû passer des tests chez IBM à Roubaix et l'admission au CESI d'Arras. J'ai
obtenu de bons résultats, le tout "haut la main", quand on aime,
on ne compte pas. Par
la suite, j'ai obtenu le BTS d'Analyste-programmeur à TERTIA 3000 à
Valenciennes.
1995, je fais ma
première campagne électorale aux municipales en troisième position sur la
liste. Nous ne l'emporterons pas, les listes d'opposition sont trop
nombreuses et divisées, je suis malgré tout élu Conseiller Municipal
et je ne me
représente pas en 2008. C'est donc en 1995 que je fais connaissance avec un personnage, ancien employé de
l'établissement où je travaille, mais qui est également un peintre
exceptionnel : Simon
(†).
Il est devenu Imprimeur avant d'être en retraite. Au départ, j'interviens
sur le micro de Simon à chaque fois qu'il a de petits problèmes puis petit à
petit je deviens un peu complice...
1996, les plans sociaux
se succédant, nous ne sommes plus qu'à 1100 personnes environ. Je suis nommé
Acheteur-Approvisionneur et je suis chargé de gérer les stocks du Magasin
Général avec 4 autres compagnons. Je terminerai ma carrière à ce poste en
septembre 2007. Pour l'histoire, il faut savoir que nous étions près de 2500
personnes dans les années 70. Ils ne sont plus que 2 personnes au service appro où je travaillais et l'entreprise ne compte plus que quelques 500
personnes environ.
C'est à ce moment là,
que je découvre EMMAÜS par l'intermédiaire de mon
Kiné Daniel. Il me fait pénétrer dans ce monde généreux et ouvert que sont
les compagnons. Guy, sa femme Sabine gèrent le site d'Odomez et ils me
pressentent à gérer le site par l'informatique. J'installe donc leur premier
ordinateur et je commence un bon bout de chemin avec eux, les compagnons et
les bénévoles, dont j'en suis. Ce passage est, je pense, le plus beau que
j'ai parcouru dans ma vie, il m'a permis de faire la connaissance d'un être
exceptionnel qu'est l'Abbé Pierre. J'ai grâce à Guy pu lui rendre visite
chez lui à trois reprises. La première fois c'était en Normandie, nous
l'attendions dans une pièce de la maison, tout à coup, nous avons tous
ressenti la même chose, un grand frisson nous a parcouru lorsqu'il est apparu dans
l'encadrement de la porte... cet HOMME dégageait une telle aura qu'avant
de le voir, nous avions senti sa présence. Il nous salua avec sa voix
tendre et douce, nous étions conquis et dévoués à sa cause. A ceux qui ne
croient en rien, je les plains de ne pas avoir rencontré L'Abbé Pierre, ils
auraient sans doute ressenti cette bonté divine qui l'auréolait... Ils
auraient commencé à croire en quelque chose de bénéfique. Je l'ai à nouveau
rencontré à quatre reprises, deux fois chez lui près de Paris et deux fois à Odomez... A chaque fois, un bonheur immense. La dernière fois que je l'ai vu
c'était à l'inauguration de la chapelle d'Odomez dont l'histoire est contée
dans un livre intitulé "RENCONTRES à EMMAÜS HAINAUT". Ce livre a été réalisé
par un collectif dont mon épouse, ma fille et moi-même faisions partie...
Encore une fabuleuse aventure dont Simon (†)
était acteur au premier plan.
C'était en 1996 également, le syndicat majoritaire de
l'entreprise est un peu en difficulté, il me demande de prendre la tête du
syndicat en prenant le poste de secrétaire syndical. J'y resterai jusqu'à
sa dissolution au niveau national en 2002. Qu'étais-je donc venu faire dans
cette galère syndicale et politique... Va savoir ! Charles !...
Maintenant je suis en
retraite et j'ai une charge de travail incroyable, il n'a pas chômé le
bougre. En effet, j'ai prévu mon départ très longtemps à
l'avance et, hormis la maison, le terrain dont je dois m'occuper, j'ai prévu
diverses activités pour ne pas m'ennuyer. Je suis Astronome Amateur engagé
sur deux clubs de la région et j'ai l'intention de photographier le ciel
nocturne pour mon plaisir personnel. J'ai fait l'acquisition dernièrement
d'un instrument me permettant de mener à bien cette mission. J'aime
bricoler, créer, concevoir mes petits instruments et autres bricoles que
l'on ne trouve pas dans le commerce ou qui ne correspondent jamais à ce que
l'on souhaite. Dans ce but j'ai fait l'acquisition, voici 5 ans environ, d'un
tour à métaux sur lequel j'ai ajouté une tête de perçage qui me permet de
faire du fraisage. Comme vous voyez, je suis très bien équipé. J'ai pu
réaliser pour le Club Astronomique de la Région Lilloise un spectromètre dont
je fais la description sur mon site astro :
www.astrolynx.com. Je vais maintenant
tenter de terminer un binoculaire de 150mm et mon observatoire qui sont en
cours de construction. Dans un
second temps, si ma santé le permet, j'ai l'intention de faire une maquette
navigante et plongeante du Sous-marin VÉNUS à l'échelle 1/30ème (environ 2 mètres de
longueur). Vous voyez, les idées et le travail ne manquent pas. Maintenant, il
reste à vivre, réaliser et profiter... Ce que je vous souhaite à toutes et à tous... à
très bientôt sur ce site pour voir le prochain épisode...
Le temps passe et court...
Revenez nous voir
souvent...